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La création, la diffusion et les pratiques de la culture et le numérique sont intimement liés. Quelles sont les enjeux en cours de cette relation qui découlent des innovations technologiques, de l’évolution des pratiques, des modes de diffusion, de la question de la sobriété numérique en terme artistique, économique, sociologique, technique, juridique ?
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Le Diplôme Universitaire Espaces Communs en session immersive au tiers-lieu paysan de la Martinière en 2023, Crédit photo : Mirian Joenck Quand Emmanuel Tibloux est venu nous trouver pour participer à cet ouvrage, nous un petit collectif ancré dans un tiers-lieu...
immergés dans cette aventure, ils ont réalisé une étude de cas tout à fait passionnante à retrouver ici Consulter le dossier des étudiant.e.s
diplôme de niveau 7 (master), lien, information : https://innovation.cnam.fr/certificat-de-specialisation-ingenierie-de-la-culture-et-de-la-creation-1317841.kjsp?RH=3761534927166859
voir toutes les informations, le lien de connexion. Formation de niveau 6 licence en cours du soir pour les professionnels https://innovation.cnam.fr/certificat-de-competence-mediation-culturelle--1317395.kjsp?RH=3761534927166859
https://www.observatoire-culture.net/diagnostic-aiguiller-accompagner-secteur-culturel-transitions
Rendez-vous annuel de rencontres et d’échanges sur la place de l’art dans les évolutions et les transformations de l’espace public. retrouver les intervention de l’édition 2023 : Isabelle Daëron, Laurent Dumas, Pascal Yonet, Grégory Chatonsky, Lucie Marinier, Peter Gorschlüter et Jean-Denis Salesse
Lucie Marinier, Laure Armand d’Hérouville, Aude Porcedda, Hélène Vassal – Les musées sont au coeur de nouvelles injonctions contradictoires produites par les transitions socio-écologiques entre impacts et évolution des missions. Cela implique que tous les professionnels soient formés à de nouvelles compétences, en particulier pour travailler différemment ensemble.
Il arrive que des œuvres, dans l’espace public, nous parlent d’écologie. Mais pour que ces œuvres deviennent partie prenante de nos écosystèmes sociaux, leur production, leur appropriation, leur maintenance doivent aussi répondre à certains principes écologiques.
Depuis des décennies, des réflexions sont menées sur les technologies dites « durables » et accessibles à tous. Dans une optique de durabilité, les innovations « low-tech », par opposition au « tout high-tech », s’inscrivent dans une démarche qui questionne nos besoins réels et nos modes de vie.
Par leurs intentions et leurs formats, les œuvres dans l’espace public se diversifient de plus en plus, grâce à l’impulsion de commanditaires ou par la volonté autonome d’artistes. Cette pluralité résulte, entre autres, d’un accueil plus volontaire, au sein de la commande publique, et du désir des artistes d’agir in situ, dans une dimension interpellative, participative, de (dé)construction de l’espace public. Malgré ce consensus – qui reste fragile –, la question de l’élaboration et de la vie des œuvres dans le temps – et non uniquement dans l’espace – demeure insuffisamment pensée, et cette insuffisance est à l’origine de la majorité des conflits ou des déceptions autour des projets artistiques.